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Flaming, de l'album "The Piper a the gates of dawn" (Le cornemuseur aux portes de l'aube)ArdentSeul dans les nuages bleusAssis sur une couvertureYoupi! Tu n'me vois pasMais moi je peuxParessant dans la roséeAssis sur une licornePas juste! tu n'peux m'entendreMais moi je peuxRegardant les boutons d'orDormant sur une dent-de-lionNon je n'te toucherai pasMais je pourraisCriant dans le ciel étoiléVoyageant par téléphoneHé-ho, nous y sommesSi hautSeul dans les nuages bleusAssis sur une couvertureYoupi! Tu n'me vois pasMais moi je peux
Voici quatre titres majeurs de l'oeuvre de Pink Floyd, Another Brick In The Wall, part 1; The Happiest Day Of Our Lives; Another Brick In The Wall, part. 2 & 3, réunis en un seul poème français.Quadrilogie du MurPapa traversa l’océanLaissant juste un souvenirUne photo dans l’album familialPapa, que m’as-tu laissé d’autre ?Papa, mais qu’ai-je d’autre de toi ?Finalement ce n’était qu’une brique dans le murFinalement ce n’était rien qu’une brique de plus dans le mur.Devenus grands nous allions à l’écoleEt il y avait certains professeursQui martyrisaient au mieux les enfantsEn faisant éclater leur ironieSur tout ce que nous faisionsEt en exposant la moindre faiblesse.Toutefois les enfants ignoraientCe qu’en ville tout le monde savaitQue le soir lorsqu’ils rentraient, leur grasseEt psychopathe épouse leur détruisaitChaque recoin de leur misérable vie.Nous n’avons aucun besoin d’éducationNous n’avons aucun besoin de contrôle mentalPlus de sombre sarcasme dans la salle de classeProfesseurs, laissez les enfants seulsProfesseurs ! Laissez les enfants seuls !Finalement ce n’est qu’une brique de plus dans le murFinalement tu n’es qu’un brique de plus dans le mur.Je n’ai aucun besoin de bras autour de moiJe n’ai aucun besoin de drogue pour me calmerJ’ai bien vu l’inscription sur le MurNe pense pas que j’ai besoin de quoi que ce soitNon ! Ne pense jamais cela !Finalement ce n’étaient que des briques dans le murFinalement vous n’étiez que des briques dans le mur.
Pour mon premier message, voici Echoes, de l'album Meddle. Une magnifique chanson.ÉchosTout là-haut un albatrosEst suspendu et immobileEt tout en bas les vagues éclatentDans les labyrinthes de corailL’écho venu d’un temps lointainVient par les dunes en mugissantEt tout est vert et immergéEt nul ne nous montra la plaineEt nul ne sait les « où » et « quoi »Mais quelque chose bouge et essaieEt monte soudain vers la lumièreLes inconnus passent dans la ruePar chance deux regards se rencontrentEt je suis toi et je me voisEt je te saisis par la mainEt te mène à travers la plaineEt aide-moi à tout comprendreEt nul ne nous dit de partirEt nul ne nous fait baisser le regardEt nul ne parle et nul n’essaieEt nul ne vole autour du soleilRayonnante chaque jour tu tombesDevant mes yeux ensommeillésEn m’invitant à me leverEt par la fenêtre dans le murViennent portés par des ailes de soleilUn million des brillants ambassadeurs du matinEt nul ne me chante de berceuseEt nul ne fais fermer mes yeuxAlors je me jette par la fenêtreEt t’appelle en traversant les cieux.
